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Ep #183 : Comment notre naissance peut nous limiter?
Dans cet épisode nous allons remettre en question les frontières de notre perception.
Nous allons explorer comment notre naissance pourrait limiter notre ouverture aux expériences à nous même et aux possibilités qui nous entourent.
Un épisode pour vous incitez à remettre en question les barrières imposées par notre naissance et à élargir votre champ des possibles.
Un voyage vers une ouverture d’esprit avec moins de limites !
Bonne écoute
ÉCOUTEZ CET ÉPISODE
Bonjour à tous et bienvenue, je suis Laetitia et vous écoutez l’Essentiel. L’Essentiel est le podcast de coaching où je partage avec vous les outils et les techniques pour vous permettre d’avancer et d’avoir la vie que vous voulez. Je souhaite vraiment que ce podcast vous inspire et surtout vous encourage à passer à l’action. Vous pourrez retrouver toutes les notes de l’épisode sur www.letitiamonaca.com Pour ne rien louper, abonnez-vous au podcast sur la plateforme d’écoute que vous utilisez pour être tenu informé des nouveaux épisodes. Et pour finir, si vous avez aimé ce podcast ou tout simplement que vous pensez qu’il peut aider d’autres personnes, parlez-en autour de vous ce serait super chouette. Et laissez-moi 5 étoiles et un petit mot sympa, ça m’aidera énormément à le faire découvrir et ça fait toujours plaisir. Voilà, je vous souhaite à tous une bonne écoute. Coucou tout le monde, j’espère que vous allez bien. Je suis hyper contente de vous retrouver aujourd’hui pour un nouvel épisode. Alors aujourd’hui, j’ai choisi de faire un épisode pour mettre en lumière à quel point notre naissance pouvait être une limite. Qu’est-ce que je veux dire par là ? En fait, vous imaginez que la manière dont on arrive sur Terre, c’est comme si on arrivait comme un tout petit point arrivé sur une très grande surface. Imaginez, c’est vrai que c’est comme si vous plantiez une aiguille dans une boule énorme. On arrive à un endroit précis sur Terre, dans une ville précis, dans une famille précise, qui a une religion, qui a des habitudes, qui a des valeurs, qui… Et tout ça fait qu’on arrive à un endroit… mais vous voyez ce que je veux dire d’une précision qui est juste chirurgicale. Et cet arrivé qui est comme ça sur un point vraiment hyper précis, hyper défini, fait que, mais on n’arrive pas ailleurs, on n’arrive pas ailleurs. Et forcément, cet endroit où on arrive va limiter notre perception de la vie, notre perception de nous-mêmes, notre perception de la vie qu’on pourrait avoir. Et c’est ça dont j’ai envie de vous parler aujourd’hui pour vous ouvrir à autre chose. Quand on y pense, quand on arrive sur Terre, on est limité par le lieu où on habite. La famille, notre religion, le milieu socioprofessionnel, effectivement, le job que nos parents pouvaient avoir, tout ça forme d’une certaine manière comme une limite. C’est-à-dire que si vous naissez dans une famille où on est catholique, à priori, vous serez catholique toute votre vie. Si vous naissez dans une famille qui est athée, peut-être que vous resterez athée, peut-être que vous découvrirez une religion, mais vous aurez plus de chances de rester athée. Donc rien qu’au niveau de la religion, on voit bien qu’on arrive et on est enfermé dans ce point-là dans lequel on est arrivé. Il n’y a que de très, très, très peu de personnes qui sont catholiques et qui se retrouvent à être musulmans ou à être bouddhistes ou à être athées. En général, c’est une proportion infime. Donc on voit déjà là comme notre naissance définit un certain nombre de paramètres dans notre vie. De la même manière que si vous naissez dans, je ne sais pas, moi imaginons à Paris, en plein milieu de Paris, ça va être votre référentiel. C’est-à-dire que c’est ça que vous allez connaître. C’est cette vie, c’est ce côté mouvement, ce côté beaucoup de personnes, ce côté très culturel qui va vous former à ça. C’est-à-dire que votre référentiel, ce sera avoir une vie très culturelle. Alors que si vous êtes né en plein, au fin fond du, je ne sais pas, de la losère où il n’y a pas un habitant et que vous êtes des filles ou fils d’agriculteurs, vous voyez comme ça va vous limiter à ça. C’est-à-dire que votre référentiel, ce sera pas le côté culturel, ce sera pas le côté beaucoup de monde, non, au contraire. Ce sera le côté très nature, ce sera le côté très travaux manuels, très on aime justement quand il n’y a pas de monde, etc. Et donc, notre naissance nous met un peu comme dans une boîte dans laquelle, voilà, cette boîte-là, c’est un peu tout ce qui est connu. Les valeurs, les codes, la religion, le lieu. Et vous imaginez bien que si vous naissez en plein milieu de Paris, dans une famille peut-être catholique et bourgeoise, votre perception de la vie sera complètement différente que si vous étiez arrivé de l’univers dans une famille d’agriculteurs au fin fond de la Lauser qui était peut-être athée, ou alors que vous êtes né au contraire en plein milieu de l’Afrique, dans une tribu, ou peut-être peu importe la religion, mais vous voyez comme nos vies sont vachement conditionnées par notre naissance et il y a une forme de limite. Et ce que je constate pour moi, pour les femmes que j’accompagne, pour les personnes qui est autour de moi, c’est que c’est vraiment un cadre souvent dans lequel on va vouloir rester. Et même si on commence à faire un peu une sortie à l’extérieur, c’est une sortie qui est vraiment tout à fait légère. Et c’est un peu comme si finalement ça ça allait limiter la croissance qu’on pouvait avoir et la perception qu’on a de nous-mêmes. Et pourquoi je vous fais ce podcast aujourd’hui ? Pour la simple et bonne raison que mon mari a été l’inspirateur de ce podcast, parce que mon mari est né dans une famille où personne n’est très manuel. Sa maman n’est pas manuelle. Quand j’entends manuel, c’est faire des travaux. Son père, pas du tout non plus. Et Guillaume s’est toujours dit, OK, moi, je suis pas manuel. À la maison, s’il fallait faire un truc, c’est moi. fallait faire de la peinture, réparer quelque chose, créer une maison de poupées pour sa fille, bon ben c’est moi qui l’ai fait, c’est pas lui. Et moi j’adore ce côté-là et effectivement je suis née dans une famille où mon grand-père était ébéniste, où ma mère a toujours fait des choses manuelles comme ça, donc c’est là où moi je suis arrivée sur cette terre. Donc c’est normal que ça fasse partie de mon périmètre et que lui ça fasse partie de son périmètre. Et en réalité là, en étant en train d’acheter une maison dans laquelle il y aura beaucoup de travaux et dans laquelle on on va devoir faire une grande partie des travaux nous-mêmes. Mon mari s’est mis à regarder sur YouTube les vidéos pour poser le carrelage, pour refaire l’électricité, mais pendant des heures, pas juste une vidéo. Le gars, il est devenu pro. Et en fait, un soir, il arrive à table et il me dit « mais en fait, j’adore quoi, j’adore alors que ça fait 39 ans qu’il me répète que lui et les travaux, c’est pas son truc ». Et c’est là où je me suis rendu compte que, waouh, en fait, le fait d’être né à cet endroit-là lui a pas du tout donné cette ouverture-là, qui lui en a fait tirer des conclusions sur lui-même, de se dire « en fait, je ne suis pas du tout quelqu’un qui peut prendre du plaisir à faire des travaux ou que ça intéresse ». Et le fait que là, notre vie nous amène à nous retrouver devant cet événement qui nous oblige à devoir faire des travaux, là, il y a une perception de lui-même qui a complètement changé. Et c’est là où je me suis dit « mais waouh, en fait, tu vas certainement découvrir des choses et si on n’avait pas eu cette maison, jamais tu ne l’aurais découvert ». Et du coup tu te serais limité dans ta vie à dire « non c’est pas pour moi » alors même que tu y trouves du plaisir. Et c’est là où je trouve qu’on peut perdre quelque chose et qu’on a besoin d’être conscient pour décider comment on veut faire. Parce que la vérité c’est qu’aujourd’hui on décide par rapport à ce prisme dans lequel on a grandi et dans lequel on a vécu. Et on a comme ça des étiquettes si vous êtes né dans une famille où tout le monde déteste le sport, potentiellement vous vous dites « non, nous on n’est pas une famille sportive, je pourrais jamais éprouver du plaisir à faire du sport, c’est pas mon truc. Mais en fait oui et non. En fait, l’idée qu’on s’en fait, la croyance qu’on s’en fait, elle est uniquement due du fait qu’on est arrivé à cet endroit-là, exactement sur terre, dans cette famille-là qui n’aimait pas le sport. Mais on serait arrivé dans une autre famille qui aimerait le sport. On aimerait le sport. Et quand je dis ça, ça veut pas dire que il faut qu’on se mette à faire exactement tout tout tout tout tout tout et qu’en fait on n’aime pas tout tout tout tout. Mais c’est c’est plus le fait de faire attention, de ne pas se mettre des barrières, de ne pas se mettre des murs carrément blindés, où on serait là à dire « non, non, non, vraiment, là, c’est pas pour moi » et de se laisser ouvrir peut-être à autre chose. Parce que l’impact de tout ça, c’est qu’on a tendance à rester dans une forme de boîte et à ne pas sortir de ça, et à ne pas voir le monde d’une autre manière. Et on peut comme ça passer à côté de choses qui peuvent être très épanouissantes pour nous et qui peuvent nous révéler. Et on sent que ça limite complètement la découverte qu’on peut avoir de soi et la découverte qu’on peut avoir du monde. Et sur cet exemple-là de mon mari, je me suis dit « Waouh ! Là, il vient de découvrir quelque chose chez lui qu’il n’aurait jamais découvert parce que son cerveau ne l’envisageait même pas ! » Et voyez comme ça peut être une limite, une limite dans votre vie, dans ce que vous entreprenez, dans ce que vous essayez, dans ce que vous osez faire, parce qu’il y a votre cerveau qui, d’une certaine manière, a cette pensée qui est bien ancrée au fond de nous. Non, on n’est pas né dans l’endroit où on a le droit de faire ces choses-là. On est né dans un autre endroit. Et notre cerveau, il dit du coup, ça ne te concerne pas. Reste dans l’endroit que tu connais. Et c’est complètement logique que l’on pratique exactement ce qu’on connaît. C’est qu’on ne soit pas là à se dire OK, alors voilà, tout le monde déteste le sport. Mais allez, c’est bon, je vais monter une salle de sport. C’est normal, c’est normal. Donc l’objectif du podcast aujourd’hui, c’est vraiment de vous proposer d’avoir une ouverture différente sur la vision que vous avez de vous et de vos possibilités et du monde. Parce qu’en réalité, tout est absolument possible. Tout est possible. Toutes les visions de vous sont possibles. Toutes les visions du monde sont possibles et c’est à vous de choisir. Est-ce que vous avez la curiosité d’aller tester dans un domaine qui n’est pas du tout un domaine dans lequel vous avez pu vivre et grandir ou pas, mais de vous ouvrir au fait de « en fait j’ai le droit de ne pas me limiter à l’éducation que j’ai eu, à ce cadre où on me dit que je dois avoir telle religion, je dois vivre en ville, je dois avoir un job Bac +5 parce que tout le monde a des Bac +5 et qu’en fait il n’y a personne qui a des métiers manuels dans ma famille, donc c’est inconcevable pour moi », alors que vous sentez que c’est quelque chose qui vous appelle. Et c’est pour comme ça, prendre tout ce que vous avez à prendre dans cette richesse d’éducation qu’on vous a donnée, et en même temps vous ouvrir à « il y a autre chose, ça c’est qu’une petite partie, en réalité il y a tout un tas de choses que je ne connais pas sur le monde et que je ne connais pas sur moi-même ». Et vous, vous avez la responsabilité d’aller vers ce que vous ne connaissez pas pour vous découvrir, pour voir si c’est pour moi ou pas. Donc on peut avoir tout un tas d’exemples. On est dans une famille où tout le monde est bricoleur. Je le vois, mon beau-frère, son père a construit beaucoup de maisons et est très dans le bricolage, etc. Bon, lui, c’est absolument monter une maison des fondations jusqu’au toit, parce que c’est ça qu’on lui a appris dans sa famille. Donc, on peut avoir comme ça. Est-ce qu’on a été dans une famille où on bricole, on fait des travaux ou pas ? Et est-ce que finalement, on a envie de découvrir ça ? On peut par exemple être dans une famille où tout le monde est entrepreneur et du coup on se dit « ok, dans la vie il faut être entrepreneur » alors que peut-être on aurait envie d’avoir quelque chose de plus commun et d’avoir un CDI et de se dire « ok, moi j’ai pas envie d’avoir la responsabilité de devoir gérer des personnes, d’avoir des problématiques de comptabilité, j’ai envie de me dire « ok, je me lève tous les matins, je fais un job qui me plaît et je suis salariée et c’est très bien ». bien. Ou alors on peut être dans une famille où, comme je vous disais, personne est sportif ou au contraire, tout le monde est sportif. Et nous, on est là, mais je ne crois pas que le sport ce soit pour moi. Et du coup, on est là, on fait du sport parce que c’est ce qu’on m’a appris. Mais en fait, je déteste ça. Et d’essayer d’aller vous découvrir autrement. Il y a des familles dans lesquelles l’écoute de soi, le développement personnel, c’est des choses qui peuvent être répandues et dans d’autres, pas du tout. Et vous, quelle quelle place vous voulez prendre là-dedans ? Il y a des familles dans lesquelles le rapport à la femme est d’une certaine manière, et on estime qu’elle doit être à la maison, elle doit s’occuper des enfants, qu’elle ne doit pas travailler. On peut avoir comme ça une certaine vision de quelle est la place de la femme, de la maman dans une famille. Et vous, vous arrivez dans cette famille-là, et c’est ce qu’on vous transmet. Et donc là, c’est ok, est-ce que moi j’adhère à ça, ou est-ce que moi j’imagine ma féminité complètement différemment ? Et là vous avez le choix. Mais pourquoi ça se passe comme ça ? Parce que finalement il se passe des choses dans notre vie et en gros notre cerveau va nous dire « ah non, ça c’est pas pour moi » En gros c’est « ah non mais dans ma famille on fait pas ça en fait » On est pas une famille de sportifs, on est pas une famille de… Mais c’est vraiment ça, c’est vraiment de « ah non c’est pas pour moi, c’est pas ce que je connais » Et vu que c’est pas ce que je connais, toutes ces pensées qu’on va avoir elles vont générer en nous une émotion qui va être de l’ordre de l’évidence quoi « Non mais c’est pas pour moi, c’est évident. » Ou alors de rejet, de dire « non non c’est trop différent de ce que je connais donc j’en veux pas » où ça peut générer en nous une émotion de désintérêt, comme par exemple le bricolage pour mon mari, de genre « non mais ça m’intéresse pas du tout, c’est pas mon délire » parce que dans son esprit, il a cette pensée de « non mais notre truc c’est pas le bricolage, en gros dans notre famille c’est pas le bricolage. » Et forcément, quand on se dit que c’est pas pour nous et qu’on génère comme émotion à l’intérieur de nous du rejet, du désintérêt ou l’évidence que ce n’est pas du tout pour nous, qu’est-ce qui se passe ? C’est que dans nos actions, on va se convaincre qu’effectivement ce n’est pas pour nous, on ne va rien faire du tout et on va continuer d’une certaine manière à faire la même chose qui va prouver que ce n’est vraiment pas pour nous ce nouveau domaine de vie. Donc ma proposition pour vous aujourd’hui, c’est juste de vous ouvrir à plus de curiosités. De curiosités dans un premier temps de est-ce que le point où vous êtes arrivé sur cette Terre, il vous limite ou pas ? Et ensuite, la curiosité de voir qu’est-ce que vous pourriez avoir envie d’aller découvrir. Ça ne veut pas dire que vous allez découvrir un truc et vous allez dire « Ah mais j’adore, j’adore, j’adore ». Mais non, pas du tout. Mais au moins, en fait, on ne peut pas savoir tant qu’on n’a pas fait. Et le fait est que l’endroit où on arrive sur cette Terre où on est fait qu’il y a tout un tas de choses qu’on ne teste pas. Tout ça parce que c’est tellement différent de là où on est né qu’on préfère le mettre de côté. Et aujourd’hui, je voudrais vous ouvrir à avoir la curiosité de, tiens, peut-être qu’il y a quelque chose que vous pouvez tester et vous laisser surprendre par la vie, par vous-même, et vous rendre compte que, en fait, c’est quelque chose pour vous et qu’en fait, vous adorez. Et c’est ça, laissez-vous surprendre par la vie et par vous-même. Et gardez bien à l’esprit que on évolue en permanence. Donc, même s’il y a quelques années, vous étiez encore très fermé sur quelque chose, potentiellement aujourd’hui, il y a une toute petite ouverture, une toute petite brèche qui va permettre de se faufiler et que vous vous découvriez quelque chose sur vous, que vous découvriez quelque chose sur la vie, que vous découvriez peut-être que vous aimez le sport, que vous aimez peut-être voyager, que vous aimez peut-être faire du bricolage alors que vous pensiez que vous ne l’étiez pas, ou peut-être que vous aimez en réalité faire des choses manuelles, très artistiques, mais pour des personnes qui sont nées dans une famille où l’art c’est un truc de youhou, Il y a des personnes qui peuvent complètement se fermer à tout ça. Mais à chaque instant, tout est complètement possible. Et aujourd’hui, le message était vraiment ça, de prendre conscience comme l’endroit où on est, où on arrive sur cette terre peut nous limiter, mais qu’on a la possibilité, nous, de prendre conscience de là où on est arrivé, de prendre conscience des limites qui peuvent y avoir ou ne pas y avoir. Et il n’est pas question du tout de jugement, de genre « Ah, ça nous limite et c’est nul ». Non, pas du tout. c’est juste, il y a plus grand. Et vous pouvez augmenter cette sphère dans laquelle vous êtes arrivé, pour mettre des choses à l’intérieur qui résonnent pour vous. Et ça créera une nouvelle sphère pour vos enfants et pour les générations d’après, qui eux aussi pourront faire grandir cette sphère-là. Mais osez, osez aller voir avec curiosité, osez faire des choses que vous n’avez jamais faites, juste pour aller découvrir si c’est vous, si ce n’est pas vous. Pour aller découvrir d’autres choses sur les autres, sur le monde, sur des cultures, peu importe. Mais ouvrez-vous à ça. Et je trouve que, en tout cas pour moi, cette prise de conscience, quand j’ai vu mon mari complètement switché, qui depuis 15 ans de mariage me répète « non, moi le bricolage, j’en ferai jamais parce que je déteste ça ». Et quand je vois là le changement, je me dis « ah oui, en fait, on peut vraiment découvrir des choses qu’on soupçonnait pas ». Donc voilà, c’est mon message pour vous aujourd’hui. Allez découvrir votre vie, allez découvrir des choses que vous soupçonnez pas encore sur vous. Et n’hésitez pas à me partager si vous dites « en fait, Léti, j’ai découvert un truc de fou ». Mais allez-y, envoyez-moi des petits messages. J’aime beaucoup quand vous interagissez avec moi. C’est un vrai plaisir parce que ce podcast, il n’a que ce sens-là, que de créer des moments avec vous, de créer des relations avec vous, que ce soit au travers des accompagnements, mais pas que. Donc n’hésitez pas à partager tout ça avec moi. Et ce que je voulais aussi vous dire avant de terminer ce podcast, c’est que je vais tester parce qu’on me l’a beaucoup demandé. Donc je vais tester pendant l’été, je pense, d’ouvrir des créneaux de coaching uniquement à l’unité. Donc en général, je propose un accompagnement. Si vous me suivez, vous le savez, je propose un accompagnement sur plusieurs mois parce que je trouve que c’est important et que c’est ça qui crée vraiment des changements incroyables. Cette continuité qu’on peut avoir toutes les semaines, à se retrouver, cette relation qu’on crée ensemble, cette co-création, ça fait changer, mais ça fait tellement grandir, avancer. c’est juste incroyable. Mais je peux comprendre aussi que parfois dans nos vies, on peut avoir besoin de moments comme ça épisodiques où on a envie d’avoir une coach, quelqu’un pour nous accompagner. Donc, je vais ouvrir les créneaux pour que vous puissiez réserver des séances à l’unité. Je ne sais pas encore si ça va être une heure, une heure et demie, parce que si vous avez été coaché par moi, vous savez que j’ai tendance à dépasser le créneau d’une heure. Donc, voilà, je vais vous proposer ça. n’hésitez pas à réserver votre créneau. Ce serait super chouette parce qu’effectivement en une séance, il peut déjà se passer beaucoup de choses. En tout cas, je vous fais à tous plein de gros bisous. Je vous souhaite une très très très belle journée. Je vous fais plein de bisous et je vous dis avec grand plaisir à la semaine prochaine. Bisous bisous bye bye. Si vous voulez mettre en application ces outils dans votre vie, sachez que j’accompagne femmes qui souhaitent reprendre le contrôle de leur vie et enfin avoir des changements incroyables. Donc si vous aussi vous voulez que votre vie change, contactez-moi sur www.letitiamonaca.com/contact Je serai ravie de travailler avec vous et de vous accompagner. Vous allez voir, ça va vraiment tout changer. [Musique] !
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